- 99 observations
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33
communes -
26
observateurs
15
organismes -
Première observation
1961 -
Dernière observation
2024
Appenai-sous-Bellême - Bagnoles de l'Orne Normandie - Bailleul - Beauvain - Carrouges - Ceaucé - Domfront en Poiraie - Gacé - Gandelain - Joué-du-Bois - Juvigny Val d'Andaine - La Bellière - La Ferrière-Béchet - La Ferté Macé - Lalacelle - Le Mêle-sur-Sarthe - Lonlay-l'Abbaye - L'Orée-d'Écouves - Magny-le-Désert - Mantilly - Monts-sur-Orne - Mortrée - Pacé - Perche en Nocé - Perrou - Saint-Brice - Saint-Céneri-le-Gérei - Saint-Martin-des-Landes - Saint-Martin-du-Vieux-Bellême - Saint-Nicolas-des-Bois - Tanville - Tinchebray-Bocage - Vieux-Pont
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 62 Observations
Part d'aide à la prospection : 62.63 %
Fiche organisme
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 24 Observations
Part d'aide à la prospection : 24.24 %
Fiche organisme
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Peter Stallegger (Consultant Environnement)
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 12.12 %
Fiche organisme
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Habitants-bénévoles
Participation à 11 Observations
Part d'aide à la prospection : 11.11 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.07 %
Fiche organisme
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Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.04 %
Fiche organisme
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Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.03 %
Fiche organisme
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.03 %
Fiche organisme
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Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.02 %
Fiche organisme
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Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.01 %
Fiche organisme
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Le Monde des Insectes (insectes.org)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.01 %
Fiche organisme
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Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.01 %
Fiche organisme
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Société Limousine d'Étude des Mollusques
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.01 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.01 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Dessus vert métallique à doré bronzé à marges cuivreuses ou bleuâtres. Quelque fois bleu ou noir. Quatre premiers articles des antennes jaunes, les autres obscurcis. Pattes jaunes, sauf les derniers articles (et parfois les fémurs) qui sont plus foncés. Dessous noir. Corps allongé, pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, les deux segments sont bien individualisés. Tête courte avec de solides mandibules. Le ♂ se reconnaît à ses tarses antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la ♀ lors de l’accouplement. Brachyptères, les élytres sont soudés. La sculpture élytrale de l’espèce est variable et dépend de la sous-espèce concernée (auratus, navarricus, honnorati, diensis, lasserrei, mourguesi, tronqueti et lotharingus).
Facilité d’identification : Moyennement difficile.
Confusion possibles :
Seules trois autres espèces françaises présentent des côtes élytrales et une couleur verte : Carabus auronitens (mandibules plus longues et coloration du segment thoracique visible le plus souvent rouge), Carabus solieri (vert foncé à marges violettes) et Carabus nitens (nettement plus petit, 13 à 18 mm, et qui a une pointe au bout des tibias antérieurs).
Périodes d’observation :
Toute l’année. Active principalement au printemps parfois en automne. Hiverne à l’état adulte.
Biologie/Ethologie :
Cette espèce est rarement forestière, elle préfère les prairies, même humides. Elle a fortement régressé dans les cultures céréalières. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Larves et adultes, bien qu’ayant les mêmes proies, ne mangent pas de la même façon. Les adultes ont des mandibules dotées d’une incisive coupante et dévirent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d’injecter des enzymes qui digèrent la proie de l’intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l’aide du même canal mandibulaire.
Biogéographie :
L’espèce est connue de presque toute la France continentale, elle est toutefois absente du littoral provençal et de Corse. Elle s’est beaucoup raréfiée avec l’abandon du pâturage et la disparition des prairies, ainsi qu’avec l’utilisation massive des insecticides chimiques.
Référence :
Coulon, J., Pupier, R., Queinnec, E., Ollivier, E. &; Richoux, P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.