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  • 12
    observations

  • 10
    communes

  • 4
    observateurs
    5
    organismes

  • Première observation
    1963

  • Dernière observation
    2024
Anonymisé - Decan Romain - Dresco Edouard - Le Goïc Matthieu
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 6 Observations
    Part d'aide à la prospection : 50.00 %

    Fiche organisme

  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 5 Observations
    Part d'aide à la prospection : 41.67 %

    Fiche organisme

  • Habitants-bénévoles
    Participation à 4 Observations
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

  • Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 8.33 %

    Fiche organisme

  • Institut national de l'information géographique et forestière (IGN)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 8.33 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
toute l’Europe, Bassin méditerranéen

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-14 mm, ♂ : 11-16 mm.

C’est une grande espèce aux pattes, sombres, velues et longues, chez le ♂ encore plus que chez la femelle. Sa couleur générale est brunâtre avec deuxbandes claires sur les côtés du céphalothorax et un abdomen brun à taches claires en séries. La systématique de ce groupe, à l’origine deTegenaria, a été revu récemment et en a été complètement remaniée (regroupement des espèces : atrica, saeva, duellica, nervosa, etgigantea) . Il faudra donc un peu de temps avant de discerner les biologies respectives. On distingue maintenant en France, deux Aterigena, 5 Eratigena et 17 Tegenaria. Eratigena atrica est avec Tegenaria ferruginea une grande espèce que l’on rencontre souvent dans les habitations et qu’il ne faut pas confondre avec une espèce beaucoup plus petite, Tegenaria domestica.

Milieux colonisés :
Si l’espèce colonise des milieux naturels : rochers ou troncs au sol, elle est surtout connue de milieux construits par l’homme.

Chasse :
L’espèce tisse une toile nappe non collante qui prolonge une retraite tubulaire cachée dans la végétation, dans un trou de mur, derrière un meuble. Les individus se déplacent sur la toile, c’est là qu’ils viennent capturer les proies qui se sont hasardées sur la nappe. Elles sont saisies et consommées dans la retraite.

Développement, cycle :
Les femelles adultes sont trouvées toute l’année, plus abondantes de septembre à décembre, les mâles sont présents de août à octobre. Le cycle dure deux ans.

L’araignée effectue ses mues dans sa retraite. Le ♂ recherche souvent une ♀ immature, vit avec elle jusqu’à sa mue de maturité, puis la féconde ensuite, plusieurs fois. La ponte, de 40 à 60 œufs, n’est déposée dans la retraite qu’au printemps suivant.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Tegenaria atrica C.L. Koch, 1843 | Tegenaria deroueti Dresco, 1957 | Tegenaria nervosa Simon, 1870

Observations mensuelles