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Oie cendrée
Anser anser (Linnaeus, 1758)
- 138 observations
-
36
communes -
48
observateurs
16
organismes -
Première observation
1960 -
Dernière observation
2024
Barville - Boischampré - Briouze - Camembert - Carrouges - Champsecret - Coulonges-sur-Sarthe - Domfront en Poiraie - Essay - Gouffern en Auge - Guêprei - La Chapelle-Souëf - La Ferrière-Béchet - La Ferté Macé - La Lande-de-Goult - Le Cercueil - Le Mage - Les Genettes - Les Ventes-de-Bourse - Longny les Villages - Lonlay-le-Tesson - L'Orée-d'Écouves - Messei - Monts-sur-Orne - Moutiers-au-Perche - Neauphe-sous-Essai - Neuville-sur-Touques - Perche en Nocé - Rânes - Sablons sur Huisne - Saint-Evroult-Notre-Dame-du-Bois - Saint-Patrice-du-Désert - Suré - Ticheville - Tourouvre au Perche - Valframbert
-
-
UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 24 Observations
Part d'aide à la prospection : 17.39 %
Fiche organisme
-
PNR du Perche
Participation à 19 Observations
Part d'aide à la prospection : 13.77 %
Fiche organisme
-
Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.14 %
Fiche organisme
-
Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 9.42 %
Fiche organisme
-
Eure-et-Loir Nature
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 9.42 %
Fiche organisme
-
Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.25 %
Fiche organisme
-
France Nature Environnement Centre-Val de Loir
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.25 %
Fiche organisme
-
DREAL Centre-Val de Loire
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.25 %
Fiche organisme
-
Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.80 %
Fiche organisme
-
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.80 %
Fiche organisme
-
Société d'études ornithologiques de France (SEOF)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.17 %
Fiche organisme
-
PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.45 %
Fiche organisme
-
Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.72 %
Fiche organisme
-
Conservatoire d'espaces naturels du Centre-Val de Loire (CEN CVL)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.72 %
Fiche organisme
-
Association d’étude & de protection de la Nature dans le Perche & la Vallée du Loir (perchenature.fr)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.72 %
Fiche organisme
Informations espèce
Longueur totale : 75 à 90 cm. Poids : 2,5 à 4,5 kg (mâle), 2 à 4 kg (femelle).
Diagnose :
L’Oie cendrée est la plus grande des oies sauvages européennes. Par rapport aux autres espèces, la structure du corps est plus massive, le cou plus épais et la tête plus large. Chez la sous-espèce nominale, l’ensemble du corps est gris-brun à l’exception de la partie arrière du ventre et des sous-caudales qui sont blanc pur. La partie antérieure du ventre est grise, souvent maculée de taches noires. Les pattes sont rose chair et le bec est orangé nuancé de rose à la pointe.
Détermination :
Simple. Facile sur photo.
Espèces proches :
Quatre autres espèces d’oies « grises » du genre Anser peuvent être rencontrées en France. Des difficultés d’identification existent à distance avec l’Oie cendrée, d’autant qu’elles s’associent volontiers à elle.
Période d’observation :
Octobre à avril pour la période des migrations et de l’hivernage qui concerne de nombreux individus. L’espèce se reproduit aussi en petit nombre en France.
Biologie-éthologie :
Le régime alimentaire de l’Oie cendrée est composé exclusivement de végétaux qu’elle consomme sous forme de racines, bulbes, tubercules, graines et feuilles.
Biogéographie et écologie :
Contrairement aux autres oies du genre Anser qui se reproduisent dans les régions arctiques, l’Oie cendrée a une très large distribution dans les zones boréales et tempérées du continent eurasiatique. En hiver, les Oies cendrées fréquentent les estuaires, les plaines marécageuses et les lacs. Les zones d’alimentation peuvent être très diverses : prairies, prés salés littoraux, terrains cultivés. Pour nicher, les Oies cendrées recherchent la sécurité des marais ou des îlots.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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