Lepture à étuis étranglés
Strangalia attenuata (Linnaeus, 1758)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Cerambycidae
Sous-Famille :
Lepturinae
Tribu :
Lepturini
Genre :
Strangalia
Chargement...
- 1 observation
-
0
commune -
1
observateur
1
organisme -
Première observation
2002 -
Dernière observation
2002
Anonymisé
Informations espèce
Taille : 9 -17 mm
Diagnose :
Lepture très svelte, à tête (sauf pièces buccales) et pronotum noir, antennes noires dans leur première moitié, roux brunâtre dans leur seconde. Elytres jaunes luisants avec les bordures latérales, la suture et 4 bandes transversales noires. Les pattes sont jaune roussâtre avec l’extrémité des fémurs et des tibias postérieurs noire.
Détermination : Assez facile.
Espèces proches :
Confusion possible avec Rutpela maculata (Poda, 1761) ou Leptura aurulenta Fabricius, 1792.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de juin à septembre.
Biologie-éthologie :
L’adulte est floricole et discret ; il fréquente notamment les fleurs de spirées. La larve se développe dans le bois mort carié de branches, troncs de petits diamètres, rejets de taillis de diverses essences feuillues : chêne, saule, aulne, peuplier, bouleau, noisetier, aubépine, fusain, genêt, etc. Le cycle de développement est d’au moins 2 ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce présente dans toute l’Europe, du sud de la Scandinavie à la Sicile, du Portugal à la Crimée, Caucase, Sibérie, Japon. Elle se rencontre près des cours d’eau, les prairies fraiches et humides ou encore en sous-bois bien éclairés. En France, elle est localisée, çà et là, dans le quart sud-ouest, l’est et l’Alsace, rare voire absente ailleurs.
D’après :
Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Diagnose :
Lepture très svelte, à tête (sauf pièces buccales) et pronotum noir, antennes noires dans leur première moitié, roux brunâtre dans leur seconde. Elytres jaunes luisants avec les bordures latérales, la suture et 4 bandes transversales noires. Les pattes sont jaune roussâtre avec l’extrémité des fémurs et des tibias postérieurs noire.
Détermination : Assez facile.
Espèces proches :
Confusion possible avec Rutpela maculata (Poda, 1761) ou Leptura aurulenta Fabricius, 1792.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de juin à septembre.
Biologie-éthologie :
L’adulte est floricole et discret ; il fréquente notamment les fleurs de spirées. La larve se développe dans le bois mort carié de branches, troncs de petits diamètres, rejets de taillis de diverses essences feuillues : chêne, saule, aulne, peuplier, bouleau, noisetier, aubépine, fusain, genêt, etc. Le cycle de développement est d’au moins 2 ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce présente dans toute l’Europe, du sud de la Scandinavie à la Sicile, du Portugal à la Crimée, Caucase, Sibérie, Japon. Elle se rencontre près des cours d’eau, les prairies fraiches et humides ou encore en sous-bois bien éclairés. En France, elle est localisée, çà et là, dans le quart sud-ouest, l’est et l’Alsace, rare voire absente ailleurs.
D’après :
Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Leptura attenuata Linnaeus, 1758
|
Typocerus attenuatus (Linnaeus, 1758)