Grand hanneton forestier
Melolontha hippocastani Fabricius, 1801
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Scarabaeidae
Sous-Famille :
Melolonthinae
Tribu :
Melolonthini
Genre :
Melolontha
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- 3 observations
-
3
communes -
3
observateurs
3
organismes -
Première observation
1997 -
Dernière observation
2015
Anonymisé
-
Denux Olivier
-
Poncet Laurent
-
UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
-
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille :
22-27 mm.
Diagnose :
Tête et thorax brun-rouge à noir. Élytres, antennes et pattes bruns. Dessus recouvert d’un duvet de fins poils blancs, souvent caduques. Thorax avec dorsalement deux lignes latérales blanches bien tranchées, de poils plus denses et plus longs. Abdomen noir à rouge ventralement, avec pour chaque segment latéralement, un triangle de pubescence blanche. Dernier segment abdominal (pygidium) marron, prolongé par une expansion en pointe. Les antennes ont une massue formée par 7 feuillets, qui sont très longs chez le mâle. La larve est de type « ver blanc », le corps blanc, mou et allongé, la tête et les pattes sclérifiées (dures), jaune-orangé.
Facilité d’identification :
Pour spécialiste/délicat.
Espèces proches :
Melolontha melolontha (Linnaeus, 1758) (le Hanneton commun), au comportement moins forestier, dont les thorax et la tête sont franchement noirs, et la pointe terminale de l’abdomen est plus longue et plus large. Melolontha pecoralis Megerle, 1812, présent en France uniquement dans le nord-est, en est également très proche, avec une pointe terminale encore plus courte.
Biologie-ethologie :
Les adultes ont une activité principalement crépusculaire, aux mois de mai et juin. Ils restent camouflés dans la végétation pendant la journée. Rhizophage, la larve effectue un cycle de à trois à quatre ans (suivant les régions et la rigueur de l’hiver), dans le sol, où elle mange diverses racines. Son comportement secondaire prédateur à cannibale provoque une génération plus abondante que les autres, créant tous les 3 à 4 ans ce que l’on appelle une « année à Hanneton ».
Biogéographie :
L’espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, à l’exception du quart sud et de la Corse.
D'après: Baraud, J. 1992. Coléoptères Scarabaeoidea d’Europe. Société Linnéenne de Lyon. 873 pp.
Source : fiche descriptive, INPN
22-27 mm.
Diagnose :
Tête et thorax brun-rouge à noir. Élytres, antennes et pattes bruns. Dessus recouvert d’un duvet de fins poils blancs, souvent caduques. Thorax avec dorsalement deux lignes latérales blanches bien tranchées, de poils plus denses et plus longs. Abdomen noir à rouge ventralement, avec pour chaque segment latéralement, un triangle de pubescence blanche. Dernier segment abdominal (pygidium) marron, prolongé par une expansion en pointe. Les antennes ont une massue formée par 7 feuillets, qui sont très longs chez le mâle. La larve est de type « ver blanc », le corps blanc, mou et allongé, la tête et les pattes sclérifiées (dures), jaune-orangé.
Facilité d’identification :
Pour spécialiste/délicat.
Espèces proches :
Melolontha melolontha (Linnaeus, 1758) (le Hanneton commun), au comportement moins forestier, dont les thorax et la tête sont franchement noirs, et la pointe terminale de l’abdomen est plus longue et plus large. Melolontha pecoralis Megerle, 1812, présent en France uniquement dans le nord-est, en est également très proche, avec une pointe terminale encore plus courte.
Biologie-ethologie :
Les adultes ont une activité principalement crépusculaire, aux mois de mai et juin. Ils restent camouflés dans la végétation pendant la journée. Rhizophage, la larve effectue un cycle de à trois à quatre ans (suivant les régions et la rigueur de l’hiver), dans le sol, où elle mange diverses racines. Son comportement secondaire prédateur à cannibale provoque une génération plus abondante que les autres, créant tous les 3 à 4 ans ce que l’on appelle une « année à Hanneton ».
Biogéographie :
L’espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, à l’exception du quart sud et de la Corse.
D'après: Baraud, J. 1992. Coléoptères Scarabaeoidea d’Europe. Société Linnéenne de Lyon. 873 pp.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Melolontha aethiops Westhoff, 1884
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Melolontha albicans Stierlin, 1862
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Melolontha amasicola Westhoff, 1884
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Melolontha baicalica Reitter, 1892
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Melolontha coronata Mulsant, 1842
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Melolontha discoidalis Dalla Torre, 1879
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Melolontha festiva Westhoff, 1884
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Melolontha fuscicollis Kraatz, 1885
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Melolontha metzleri Westhoff, 1884
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Melolontha mongolica Ménétriès, 1854
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Melolontha mulsanti Bedel, 1911
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Melolontha nigricollis Mulsant, 1842
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Melolontha nigripes Comolli, 1837
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Melolontha picea Wanac, 1906
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Melolontha rex Dalla Torre, 1879
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Melolontha romana Reitter, 1887
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Melolontha schwarzi Kraatz, 1888
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Melolontha suturalis Kraatz, 1887
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Melolontha tibialis Mulsant, 1842