Silphe des friches

Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775)
Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Silphidae Sous-Famille : Silphinae Genre : Ablattaria
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    observations

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    commune

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    observateurs
    3
    organismes

  • Première observation
    2012

  • Dernière observation
    2024
Anonymisé - Chevreau Johannic - Debroize Morvan
  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

  • Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille : 11-16 mm.

Diagnose :
Entièrement noir, parfois les élytres sont brun foncés. Ovale relativement aplati (peu convexe), en forme de bouclier. Les élytres sont ponctuées et lisses : elles ne présentent pas de trace de carène longitudinales. Bords latéraux en gouttières larges et relevées. Tête allongée en museau, deux fois plus longue que large.

Facilité d’identification : Facile

Confusion possibles :
Cette espèce ne peut être confondue principalement qu’avec Silpha tyrolensis Laicharting, 1781, une espèce des prairies d’altitude et Silpha obscura Linnaeus, 1758 qui ont les élytres presque lisses, sans lignes longitudinales de carènes. Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775) s’en distingue toutefois assez facilement avec sa tête très allongée, alors qu’elle est aussi longue, voire moins longue, que large chez les Silpha. En France métropolitaine, une seule autre espèce de Silphe : Phosphuga atrata (Linnaeus, 1758) a la tête aussi allongée, mais ses élytres présentent neuf fortes carènes longitudinales.

Périodes d’observation :
Actif du printemps à l’été, parfois en automne.

Biologie/Ethologie :
Cette espèce est prédatrice. Elle se nourrit de proies vivantes, principalement de mollusques comme en atteste la forme allongée de sa tête, adaptée à aller chercher loin dans les coquilles d’escargot. On la rencontre depuis les bords de mer jusqu’à près de 1800 mètres, où elle est écologiquement supplantée par une espèce proche : Silpha tyrolensis Laicharting, 1781.

Biogéographie :
L’espèce est relativement commune dans la moitié sud de la France métropolitaine, elle devient plus rare au nord mais est connue sur l’ensemble du territoire métropolitain.

D'après: Debreuil, M. 2004. Contribution à la connaissance de la famille des Silphidae Latreille, 1807 (Coleoptera Staphylinioidea). Troisième partie. Rutilans, 7(1): 17-24.

Source : fiche descriptive, INPN
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Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Ablattaria costulata Portevin, 1926 | Ablattaria distinguenda Portevin, 1926 | Ablattaria meridionalis Ganglbauer, 1899 | Ablattaria punctata Portevin, 1926 | Silpha gibba Brullé, 1832 | Silpha laevigata Fabricius, 1775 | Silpha polita Sulzer, 1776

Observations mensuelles