Carassin doré
Carassius auratus (Linnaeus, 1758)
Classe :
Actinopterygii
Ordre :
Cypriniformes
Famille :
Cyprinidae
Sous-Famille :
Cyprininae
Genre :
Carassius
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- 7 observations
-
2
communes -
4
observateurs
7
organismes -
Première observation
1997 -
Dernière observation
2015
- C.s.p.
-
Cpie Des Collines Normandes
-
Inconnu
-
Obs. Non Précisé
-
Office Français de la Biodiversité (OFB)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 57.14 %
Fiche organisme
-
Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 42.86 %
Fiche organisme
-
CPIE Collines normandes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
-
Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
-
Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
-
Société Française d'Ichtyologie (SFI)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
-
Institut national de recherche pour l'agriculture l'alimentation et l'environnement (INRAE)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille/poids : Cette espèce mesure généralement de 20 à 30 cm et peut peser 1 kg.
Diagnose :
Il existe de nombreuses variétés créées par l’Homme. Dans sa forme rustique, le Carassin doré (communément appelé poisson-rouge) a une grosse tête, une longue nageoire dorsale convexe armée d’un rayon dur et denté. Son péritoine est noir. La forme ornementale varie du rouge orange vif au blanc, unie ou en larges taches. Les descendants retournés à l’état sauvage ont une robe plus brune/argentée.
Détermination et espèces proches :
L’identification de l’espèce est très simple lorsque celle-ci présente la forme ornementale. Il s’agit de la seule espèce du genre Carassius présentant cette coloration rouge orangée. D’autres espèces ont aussi cette coloration ornementale bien que moins fréquentes. On distingue ainsi le Carassin doré de la carpe Cyprinus carpio par l’absence de barbillon autour de la bouche, de la tanche Tinca tinca par ses grosses écailles sur le corps, et de l’Ide mélanote Leuciscus idus par la longue nageoire dorsale. Les descendants retournés à l’état sauvage ressemblent beaucoup au Carassin argenté Carassius gibelio mais tendent à être moins haut de corps.
Période d’observation : Le Carassin doré est observable toute l’année.
Biologie-éthologie :
La reproduction qui est multiple, a lieu en juin-juillet à 20-25°C sur les plantes. Les ♀s pondent entre 10 000 et 80 000 œufs de 1.5 à 1.7 mm par ponte. Les œufs éclosent en 3 jours à 25°C et les jeunes atteignent une taille 6-8 cm au bout de leur première année. Le poisson-rouge peut vivre plus de 20 ans en captivité. Dans la nature, il est peu compétitif et c’est une proie facile, il ne réussit guère à s’implanter s’il y a des prédateurs. Cette espèce se nourrit essentiellement de plancton, d’invertébrés benthiques, de matière organique végétale et de détritus.
Biogéographie et écologie :
Originaire de Chine, la forme ornementale a été créée vers l’an 1000. Le Carassin doré a été introduit en France au XVIIIème siècle, et s’est largement répandue dans les bassins d’ornement. Généralement absent des eaux libres, on peut rencontrer des spécimens d’aquarium relâchés par leurs anciens propriétaires.
Interactions avec les activités humaines :
Le Carassin doré a un très fort intérêt commercial pour l’aquariophilie, et à un degré moindre pour les pêcheries, l’aquaculture et la pêche récréative.
Source : fiche descriptive, INPN
Diagnose :
Il existe de nombreuses variétés créées par l’Homme. Dans sa forme rustique, le Carassin doré (communément appelé poisson-rouge) a une grosse tête, une longue nageoire dorsale convexe armée d’un rayon dur et denté. Son péritoine est noir. La forme ornementale varie du rouge orange vif au blanc, unie ou en larges taches. Les descendants retournés à l’état sauvage ont une robe plus brune/argentée.
Détermination et espèces proches :
L’identification de l’espèce est très simple lorsque celle-ci présente la forme ornementale. Il s’agit de la seule espèce du genre Carassius présentant cette coloration rouge orangée. D’autres espèces ont aussi cette coloration ornementale bien que moins fréquentes. On distingue ainsi le Carassin doré de la carpe Cyprinus carpio par l’absence de barbillon autour de la bouche, de la tanche Tinca tinca par ses grosses écailles sur le corps, et de l’Ide mélanote Leuciscus idus par la longue nageoire dorsale. Les descendants retournés à l’état sauvage ressemblent beaucoup au Carassin argenté Carassius gibelio mais tendent à être moins haut de corps.
Période d’observation : Le Carassin doré est observable toute l’année.
Biologie-éthologie :
La reproduction qui est multiple, a lieu en juin-juillet à 20-25°C sur les plantes. Les ♀s pondent entre 10 000 et 80 000 œufs de 1.5 à 1.7 mm par ponte. Les œufs éclosent en 3 jours à 25°C et les jeunes atteignent une taille 6-8 cm au bout de leur première année. Le poisson-rouge peut vivre plus de 20 ans en captivité. Dans la nature, il est peu compétitif et c’est une proie facile, il ne réussit guère à s’implanter s’il y a des prédateurs. Cette espèce se nourrit essentiellement de plancton, d’invertébrés benthiques, de matière organique végétale et de détritus.
Biogéographie et écologie :
Originaire de Chine, la forme ornementale a été créée vers l’an 1000. Le Carassin doré a été introduit en France au XVIIIème siècle, et s’est largement répandue dans les bassins d’ornement. Généralement absent des eaux libres, on peut rencontrer des spécimens d’aquarium relâchés par leurs anciens propriétaires.
Interactions avec les activités humaines :
Le Carassin doré a un très fort intérêt commercial pour l’aquariophilie, et à un degré moindre pour les pêcheries, l’aquaculture et la pêche récréative.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Carassius auratus argenteaphthalmus Nguyen in Nguyen & Ngô, 2001
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Carassius auratus ater Bade, 1894
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Carassius auratus auratus (Linnaeus, 1758)
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Carassius auratus coeruleus Bade, 1894
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Carassius auratus discolor Bade, 1894
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Carassius auratus elegans Bade, 1894
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Carassius auratus gyrantes Bade, 1894
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Carassius auratus italianus Bade, 1894
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Carassius auratus longicaudatus Dürigen, 1897
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Carassius auratus macrophthalmos Dürigen, 1886
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Carassius auratus magnificus Bade, 1894
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Carassius auratus ovatus Dürigen, 1897
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Carassius auratus ploetzia Bade, 1894
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Carassius auratus quadricolor Bade, 1894
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Carassius auratus ruber Bade, 1894
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Carassius auratus uranoscopus Dürigen, 1897
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Carassius auratus var. americanus Wolf, 1908
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Carassius auratus var. cantonensis Tchang, 1933
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Carassius auratus var. europensis Wolf, 1908
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Carassius auratus var. oviformis Zernecke, 1897
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Carassius auratus var. simplex Zernecke, 1897
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Carassius auratus var. uranoscopus Zernecke, 1897
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Carassius auratus var. wui Tchang, 1930
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Carassius auratus wui Tchang, 1930
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Carassius burgeri Temminck & Schlegel, 1846
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Carassius coeruleus Basilewsky, 1855
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Carassius discolor Basilewsky, 1855
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Carassius grandoculis Temminck & Schlegel, 1846
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Carassius japonicus Mulertt, 1883
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Carassius orientalis Mulertt, 1883
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Carassius pekinensis Basilewsky, 1855
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Cyprinus abbreviatus Richardson, 1846
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Cyprinus auratus Linnaeus, 1758
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Cyprinus auratus kinyu Walbaum, 1792
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Cyprinus chinensis Gronow in Gray, 1854
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Cyprinus coeruleus Brind, 1914
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Cyprinus gibelioides Cantor, 1842
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Cyprinus maillardi Guichenot, 1863
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Cyprinus mauritianus Bennett, 1832
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Cyprinus quadrilobatus Lacépède, 1803
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Cyprinus telescopus Lacepède, 1803
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Cyprinus thoracatus Valenciennes in Cuvier & Valenciennes, 1842
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Leuciscus auratus Mauduyt, 1849
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Neocarassius ventricosus Castelnau, 1872