Coelote terrestre

Coelotes terrestris (Wider, 1834)
Classe : Arachnida Ordre : Araneae Famille : Agelenidae Sous-Famille : Coelotinae Genre : Coelotes
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  • 34
    observations

  • 5
    communes

  • 13
    observateurs
    5
    organismes

  • Première observation
    1937

  • Dernière observation
    2023
Anonymisé - Cherpitel Thomas - Chéreau Loïc - Claisse Mathieu - Courtial Cyril - Damoiseau Sébastien - Debout G. - Devogel Pierre - Fouillet Philippe - Gretia - Maury-caudal Tristan - Petillon Julien - Simon Eugène
  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 28 Observations
    Part d'aide à la prospection : 82.35 %

    Fiche organisme

  • GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
    Participation à 9 Observations
    Part d'aide à la prospection : 26.47 %

    Fiche organisme

  • UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 8.82 %

    Fiche organisme

  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 8.82 %

    Fiche organisme

  • Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 2.94 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
Europe moyenne (manquant au Nord et au Sud)

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-14 mm, ♂ : 8-10 mm.

L’espèce présente des pattes et un céphalothorax brun foncé avec un abdomen noir velouté avec des taches en chevron plus claires. Elle a le même aspectqu’un Amaurobius mais ses filières antérieures sont développées et ne sont pas des plaques (cribellum). On compte 7 espèces dans le genre Coelotes en France, et trois autres dans des genres très proches (Inermocoelotes et Pyreneteiga). L’observation des pièces génitales est indispensable pour identifier les espèces.

Milieux colonisés :
L’espèce colonise les pierres, les souches et la litière en forêt. On la trouve aussi dans des steppes, des landes peu ensoleillées (exemple : Mont d’Arrée en Bretagne).

Chasse :
L’espèce tisse une toile très peu étendue, de quelques centimètres, en prolongement d’une longue retraite en tube qui se développe au sol sous une pierre, une branche ou dans la végétation. Il est actif la nuit et capture de nombreux coléoptères, cloportes ou mille-pattes. Les proies qui s’aventurent le long de la toile sont mordues puis entraînées dans la retraite.

Développement, cycle :
Les adultes mâles sont présents en fin d’été, les femelles du printemps à l’automne. Le cycle semble annuel.

La ♀ élargit sa retraite au moment de la période de ponte en juin-juillet, c’est dans un espace étendu qu’elle dépose son cocon, contenant 40 à 60 œufs, et qu’elle reste avec sa progéniture. Après l’éclosion et la sortie des jeunes du cocon, la ♀ capture des proies qu’elle régurgite à ses jeunes ou qu’elle met à leur disposition. Ceux-ci chassent ensuite dans le nid et en développent la construction. La ♀ meurt aux premiers froids de l’hiver et est dévorée par sa progéniture qui reste dans le nid et ne se dispersera qu’après la fin de l’hiver.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Aranea terrestris Wider, 1834 |

Observations mensuelles