Drassode lapidicole
Drassodes lapidosus (Walckenaer, 1802)
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- 17 observations
-
4
communes -
10
observateurs
10
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2023
Anonymisé
-
Chapelliere L.
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Cherpitel Thomas
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Claisse Mathieu
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Devogel Pierre
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Inconnu
-
Maury-caudal Tristan
-
Non Renseigné
-
Stallegger . P
-
Tiberghien Gérard
-
Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL)
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 35.29 %
Fiche organisme
-
PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 29.41 %
Fiche organisme
-
GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 23.53 %
Fiche organisme
-
Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 11.76 %
Fiche organisme
-
UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 11.76 %
Fiche organisme
-
Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.88 %
Fiche organisme
-
Société Limousine d'Étude des Mollusques
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.88 %
Fiche organisme
-
Institut national de l'information géographique et forestière (IGN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.88 %
Fiche organisme
-
Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.88 %
Fiche organisme
Informations espèce
Distribution mondiale :
Europe, bassin méditarranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-15 mm, ♂ : 7-13 mm.
De couleur brune avec l’abdomen gris soyeux uniforme, l’espèce possède des chélicères et l’extrémité des pattes noires. Il y a 15 espèces dans le genre et deux sous-espèces dont les mâles se distinguent par la position des dents des chélicères. Cette espèce est très proche d’une autre, D. cupreus qui est plus atlantique. Les femelles des deux espèces sont assez difficiles à distinguer, y compris en observant les pièces génitales.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux assez variés mais elle est plus commune dans ceux ouverts bien exposés au soleil.
Chasse :
Les Drassodes filent une loge de soie lâche pour leurs périodes d’inactivité diurnes, souvent sous les pierres, beaucoup plus rarement sous des écorces ou dans la mousse. Ils chassent la nuit. En végétation épaisse, on peut voir cette espèce la nuit au sommet des végétaux à la recherche de ses proies, les pattes antérieures tendues à l’avant. Les proies peuvent être assez grandes et solides comme de grands coléoptères. Elle attaque aussi d’autres araignées, y compris de sa taille.
Développement, cycle :
Les mâles sont présents au printemps et en été, les femelles survivent parfois jusqu’à l'automne. Le cycle est annuel Devenu adulte, le ♂ recherche la loge d’une ♀ subadulte. Il reste avec elle jusqu’à sa dernière mue et la féconde dès qu’elle a quitté sa dernière exuvie, avec son tégument pas encore sec, encore fragile. La période de ponte s’étend de juin à septembre, il peut y avoir de 40 à plus de 110 œufs. Les œufs sont enfermés dans un cocon constitué d’une soie épaisse très blanche. La ♀ garde son cocon dans sa loge jusqu’à ce que les jeunes en sortent.
Source : fiche descriptive, INPN
Europe, bassin méditarranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-15 mm, ♂ : 7-13 mm.
De couleur brune avec l’abdomen gris soyeux uniforme, l’espèce possède des chélicères et l’extrémité des pattes noires. Il y a 15 espèces dans le genre et deux sous-espèces dont les mâles se distinguent par la position des dents des chélicères. Cette espèce est très proche d’une autre, D. cupreus qui est plus atlantique. Les femelles des deux espèces sont assez difficiles à distinguer, y compris en observant les pièces génitales.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux assez variés mais elle est plus commune dans ceux ouverts bien exposés au soleil.
Chasse :
Les Drassodes filent une loge de soie lâche pour leurs périodes d’inactivité diurnes, souvent sous les pierres, beaucoup plus rarement sous des écorces ou dans la mousse. Ils chassent la nuit. En végétation épaisse, on peut voir cette espèce la nuit au sommet des végétaux à la recherche de ses proies, les pattes antérieures tendues à l’avant. Les proies peuvent être assez grandes et solides comme de grands coléoptères. Elle attaque aussi d’autres araignées, y compris de sa taille.
Développement, cycle :
Les mâles sont présents au printemps et en été, les femelles survivent parfois jusqu’à l'automne. Le cycle est annuel Devenu adulte, le ♂ recherche la loge d’une ♀ subadulte. Il reste avec elle jusqu’à sa dernière mue et la féconde dès qu’elle a quitté sa dernière exuvie, avec son tégument pas encore sec, encore fragile. La période de ponte s’étend de juin à septembre, il peut y avoir de 40 à plus de 110 œufs. Les œufs sont enfermés dans un cocon constitué d’une soie épaisse très blanche. La ♀ garde son cocon dans sa loge jusqu’à ce que les jeunes en sortent.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Aranea lapidosa Walckenaer, 1802
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Drassodes lapidosus signatus (Walckenaer, 1837)
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Drassodes pirini Drensky, 1921